Considéré par beaucoup comme le meilleur de la trilogie, il met en scène le vieux Michael Corleone, joué par Al Pacino, vivant avec un diabète de type 2.
Assez réaliste, le film montre un épisode d’hypoglycémie lié à un stress, et Corleone se traite en buvant un verre de jus d’orange. L’évolution de la maladie le contraint à débuter un traitement par insuline. Les complications vasculaires sont également évoquées.
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