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Le diabète dans le cinéma

Pour le meilleur et pour le pire !

Il existe de nombreuses œuvres de cinéma où le diabète est évoqué, avec une justesse inégale. On peut s’amuser à relever les petites ou grosses erreurs, comme par exemple dans Panic Room (David Fincher, 2002) où Jodie Foster exige de l’insuline pour sa fille diabétique de type 1 pour traiter… une hypoglycémie. Mais l’objectif des cinéastes n’est bien entendu pas de faire un cours de médecine. L’abord du diabète dans le cinéma est à l’image de cet art qui se décline en de nombreux styles. Et, vous le verrez, il y en a pour tous les genres !

Le diabète dans le cinéma

Un classique : Le Parrain 3 (Francis Ford Coppola, 1990)

Considéré par beaucoup comme le meilleur de la trilogie, il met en scène le vieux Michael Corleone, joué par Al Pacino, vivant avec un diabète de type 2.

Assez réaliste, le film montre un épisode d’hypoglycémie lié à un stress, et Corleone se traite en buvant un verre de jus d’orange. L’évolution de la maladie le contraint à débuter un traitement par insuline. Les complications vasculaires sont également évoquées.

Le film d’horreur de série B : Scarecrow, l’ultime massacre (Brian Katkin, 2004)

Ce film sorti directement en DVD n’a surement pas la notoriété du précédent. Dans cette œuvre quasiment parodique qui se déroule aux Etats-Unis, un enfant diabétique est bizuté avant d’entrer dans l’équipe de baseball locale. 

Privé de ses traitements, il tombe dans le coma. Le croyant mort, ses « amis » l’attachent alors à un épouvantail (scarecrow), et il finit par mourir dans la nuit. Dans la suite du film, l’épouvantail, hanté par l’esprit du malheureux, n’aura de cesse de se venger violemment contre ses petits camarades.

Le thriller palpitant : Pour elle (Fred Cavayé, 2008)

Lisa (Diane Kruger), qui vit avec un diabète de type 1, et Julien (Vincent Lindon) vivent avec leur fils Oscar. Jusqu’ici, tout va bien. Mais un jour, Lisa est arrêtée, et finalement condamnée à 20 ans de prison pour un meurtre qu’elle n’a pas commis.

Dans cette prison où elle n’est pas à sa place, Lisa, de désespoir, ne fait plus ses injections d’insuline. L’instituteur tranquille va alors devenir un criminel par amour, en tentant de faire évader sa compagne.

Un remake américain a été réalisé en 2010 avec Russel Crowe et Elizabeth Banks (Les trois prochains jours, de Paul Haggis).

Le film de Zombie : State of Emergency (Turner Clay, 2010)

Il s’agit là d’un film de zombie assez classique, avec une explosion dans une usine de produits chimiques qui provoque une inquiétante mutation chez les habitants du coin.

Un scénario qui tient donc en une phrase. La lutte pour la survie au milieu de la ville infestée de zombies est d’autant plus compliquée que l’une des héroïnes souffre d’un diabète de type 1 et peine à se procurer son insuline.

Un classique du « nanar » : Les Ailes de l’Enfer (Simon West, 1997)

Ce film bourré de testostérone est servi par une réalisation un peu hystérique et un casting haut en couleur (Nicolas Cage, John Cusack et John Malkovich à l’affiche).

Nicolas Cage se retrouve malgré lui pris dans une évasion (encore une !) alors qu’il est ramené chez lui en avion après une peine de 8 ans de prison. Le héros doit alors survivre avec l’aide de son meilleur ami diabétique.

Le mélodrame : Steel Magnolias (Herbert Ross, 1989)

L’histoire se passe au fin fond des Etats-Unis, au Nord-Ouest de la Louisiane. La malheureuse Shelby, incarnée par une Julia Roberts en début de carrière, a un diabète de type 1. Difficile de ne pas aller plus loin sans révéler l’intrigue. Retenons seulement que le scénario grossit un peu le trait pour provoquer les larmes des spectateurs.

Il y aurait évidemment d’autres films à citer. Retenons surtout que le sujet est rarement traité avec justesse et correspond peu au véritable quotidien des personnes vivant avec le diabète, qui est souvent utilisé comme simple artifice scénaristique pour faire vibrer la corde sensible, ou ajouter une petite dimension « d’urgence ». A côté de ces films où un patient diabétique est mis en scène, il y a évidemment une multitude de documentaires très bien faits qui traitent du diabète, mais c’est un autre sujet !

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Images utilisées uniquement à des fins d'illustration. Il ne s’agit ni de vrais patients, ni de vrais professionnels de santé.

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